How Lay Third Parties Weigh Legitimacy and Sanctions in a Side-Taking Dilemma: A Study among Chinese and Dutch Employees |
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Authors: | Huadong Yang Evert Van de Vliert Kan Shi |
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Affiliation: | University of Twente, The Netherlands; University of Groningen, The Netherlands; Chinese Academy of Sciences, Beijing, PR China |
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Abstract: | Lay third parties sometimes react to an interpersonal dispute by taking sides. In this paper, we investigate the interaction effects of lay third parties’ moral and expedient orientations on the relationship between perceived legitimacy (or expected negative sanctions) and their intention of side‐taking with a legitimacy party (or a sanction party). Seventy‐nine Chinese and 77 Dutch employees were presented with a scenario describing a conflict dilemma between one party who has more legitimacy claims but less negative sanctions and the other party who has less legitimacy claims but more negative sanctions. The results showed that moral orientation by itself has a reinforcing effect on the positive link between perceived legitimacy and siding with a legitimacy party. In addition, in both countries, the relationship between expected negative sanctions and side‐taking with a sanction party was moderated by a joint effect of the moral and the expedient orientations. That is, for lay third parties with a weakly moral orientation and a strongly expedient orientation, an increase in negative sanctions led to more side‐taking with a sanction party. For those lay third parties who were weakly moral and weakly expedient oriented, strongly moral and strongly expedient oriented, or strongly moral and weakly expedient oriented, the above‐mentioned link was not positive any more. Confrontés à un conflit interpersonnel, les tiers non concernés réagissent parfois en prenant parti. Dans cet article, nous étudions les effets d’interaction des orientations morales et opportunistes de tiers non impliqués sur la relation entre la légitimé perçue ou les sanctions négatives attendues et leur intention de se ranger aux côtés d’un groupe légitime ou d’un groupe puissant. On a présentéà 79 salariés chinois et 77 salariés néerlandais un scénario décrivant un dilemme conflictuel entre un groupe qui disposait de plus de légitimité, mais de sanctions négatives moindres et un autre groupe qui disposait de moins de légitimité, mais de sanctions négatives plus fortes. Les résultats montrent que l’orientation morale exerce par elle‐même un renforcement sur la liaison positive entre la légitimité perçue et le fait de se ranger aux côtés d’un groupe bénéficiant de la légitimité. De plus, dans les deux pays, la relation entre les sanctions négatives attendues et le fait de choisir le groupe puissant était régulé par un effet conjugué des orientations morales et opportunistes. Ce qui signifie que pour des tiers pourvus d’une orientation morale déficiente et d’un grand opportunisme, une augmentation des sanctions négatives incite à prendre plutôt parti pour le groupe puissant. La relation ci‐dessus mentionnée n’est nullement positive pour les tiers à la morale et à l’opportunisme faibles, à la morale et à l’opportunisme forts, ou à la morale forte et à l’opportunisme faible. |
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