Respiratory phase and visual signal detection

Previous studies have implicated respiration as a source of intra-S variation in visual signal detection tasks. In the present study, pneumographic respiration records were obtained on 22 female undergraduates during a visual signal detection task. The analysis of signal detection with respect to respiration phase showed that signals presented during exhalation were detected more frequently than those presented during inhalation. These findings suggest that the intra-S variation in signal detection performance may be partially accounted for by respiratory behavior at the moment of signal presentation.     

Consumer evaluation in practice

Users of a community child and adolescent mental health service were surveyed, 3–4 weeks after their last contact, to determine their satisfaction with the service they received. High levels of overall satisfaction were obtained by general ratings, which tended to mask more specific critical comments to open-ended questions suggesting ways in which the service could be improved. The resulting changes in service provision are identified, the general value of consumer surveys discussed and the need to include open-ended questions in satisfaction surveys emphasized.     

Book reviews

Facets of Buddhism Shotaro Iida, 1991 Delhi, Motilal Banarsidass 166 pp., Rs. 150 hb

Li Ao: Buddhist, Taoist, or Neo‐Confucian? T. H. Barrett, 1992 London Oriental Series, Vol. 39 Oxford, Oxford University Press x + 178 pp. £20

Spirituality & Emptiness Donald W. Mitchell, 1992 New York, Paulist Press, xvi + 224 pp. $12.95     

The control of movement in the preferred and non-preferred hands

The nature of the difference in skill between the preferred and non-preferred hands was investigated using a peg-board task. The first experiment examined the effects of varying movement amplitude and target tolerance on performance. The difference between hands was found to be related to tolerance rather than movement amplitude. The second study analysed a film record of well-practised subjects, confirming the hypothesis that most of the difference between hands is due to relative slowness of the non-preferred hand in the positioning phase involving small corrective movements. Analysis of the type and number of errors further suggested that this result is not due to differences in duration of movements but to their increased frequency, implying greater accuracy of aiming with the preferred hand. Thus whilst the initial gross analysis implicated feedback processing in skill differences the more detailed analysis suggests that motor output of the nonpreferred hand is simply more variable.     

Attention demands in balance recovery following lower limb amputation

The attention demands in balance control after damage to the peripheral sensorimotor system were studied in 12 persons with a recent lower limb amputation. The interference of an arithmetic task with two postural tasks of different complexity (quiet standing and active weight shifting) was examined several times during their rehabilitation while the subjects stood on a force platform. Control data were obtained from healthy subjects. For both postural tasks, persons with amputation performed worse than controls. Quiet standing, a relatively simple task, revealed clear dual-task interference only in the amputation group. Evidence was found for a reduction in dual-task interference as rehabilitation progressed. In contrast, voluntary (feedback-controlled) weight shifting, a more complex task, revealed an equal amount of dual-task interference in persons with amputation and in controls, without changes in interference over the period of rehabilitation. The results indicate that attentional mechanisms may be involved in postural control, depending on both the novelty and complexity of the task. Moreover a reduction in attention demands of quiet standing may reflect a central adaptation of the postural organization to the peripheral sensorimotor impairments caused by lower limb amputation.     

THE STUDY OF THE PROBLEM OF PICTORIAL PERCEPTION AMONG UNACCULTURATED GROUPS

L'étude du problème de la perception des images chez des peuples non occidentalisés. — Les psychologues sociaux se sont détournés de L'étude relativement stérile des différences raciales sous L'angle quantitatif pour se tourner vers la recherche, plus significative, des différences qualitatives dans L'expérience cognitive des groupes sans acculturation: L'étude de la perception des images est caractéristique de ce genre de recherches. Jusqu'à une période récente, on prenait pour garanti que les images réalisées selon les habitudes occidentales avaient une égale valeur didactique pour toutes les cultures. Or, les phénomènes d'erreurs de perception ont été explorés dans une série d'expériences, conçues pour étudier systématiquement les réponses perceptives aux conventions occidentales en matière de représentations: elles montrent que le noir illettré comprend mal les indices conventionnels utilisés ponr représenter la profondeur; le noir instruit fait également des erreurs perceptives ou répond de façon ambivalente. Chez les blancs, la manière conventionnelle de percevoir les images se développe à L'école primaire, mais dérive principalement du contexte culturel non formel, puisqu'un groupe de blancs instruits, mais isolés, fait les mêmes erreurs qu'un groupe de noirs illettrés: il est clair que la cause en est une privation perceptive spécifique, culturellement et non racialement induite. Outre les indices de profondeur, d'autres indices, comme la position ou L'orientation, créent des problèmes aux noirs dans L'interprétation des images. Les résultats de ces recherches semblent valider un modèle psychologique de hiérarchie dynamique des capacités: les capacités supérieures seraient moins affectées par les expériences liées à un milieu spécifique, mais la culture aurait un rôle formateur à jouer dans L'efficacité de capacités plus périphériques comme la perception des images. Cependant, sur la base de travaux expérimentaux plus récents, d'autres théories ont été avancées pour expliquer les données expérimentales: L'une d'entre elles propose de remplacer le principe d'habitude perceptive par celui de privation sémantique. Cette approche est trop sélective et n'explique pas les différences observées dans les réponses au cours d'expériences qui utilisaient conjointement des réponses verbales et des réponses manipulatoires. La dernière étude suggère que les erreurs dans la perception des images peuvent être dues à L'incapacité d'intégrer la totalité des stimuli perceptifs présentés dans L'image. L'auteur passe en revue une série de recherches appliquées, menées en Afrique du Sud, de L'Ouest et de L'Est ainsi qu'en Amérique du Sud et en Amérique Centrale, sur la perception des affiches et des représentations symboliques. Ces études corroborent L'existence des problèmes que rencontrent les non-occidentalisés dans la perception des images: les indices conventionnels utilisés pour représenter la profondeur sont sources de confusions; les représentations symboliques sont mal ou pas comprises; la simplification et la réduction des détails sont essentiels, mais la sursimplification, qui réduit le réalisme, peut aller à L'encontre de ce que voulait signifier L'artiste. La compréhension des images tend à être liée à la scolarisation et à L'urbanisation. Les affiches, bien que porteuses de messages spécifiques, n'évoquent souvent qu'une réponse générale; en ce sens, on peut dire qu'au mieux, elles préparent le percevant, en le prédisposant à recevoir le message. Il est essentiel, en premier lieu, que le matériel pictural soit adapté au niveau d'acculturation des percevants: ceci signifie qu'il faut utiliser une série de représentations qui soient appropriées aux niveaux d'acculturation des divers groupes concernés. En second lieu, les images et illustrations sont essentiellement des aides visuelles et en tant que telles, doivent être convenablement intégrées à la situation pédagogique totale. C'est seulement à ces conditions que le temps, les efforts et L'argent dépensés à les réaliser et à les utiliser seront des investissements fructueux.     

Examining changes in procedural justice and their influence on problem‐solving court outcomes

The number of problem‐solving courts has grown substantially since the mid‐1990s. Research consistently indicates that participation in these courts lowers recidivism, which is often attributed to defendants’ increased perceptions of procedural justice in these programs. Yet, prior studies are limited in their focus, often examining interactions with the judge in a single court or examining defendant perceptions and outcomes at a single time point. In the present study, we investigate defendant perceptions of procedural justice with judges and case managers across multiple problem‐solving courts over time. Findings indicate that procedural justice varies across court actors and over time. Procedural justice is lower among judges than among case managers; however, changes in perceptions of procedural justice with the judge are associated with improved court outcomes. We suggest that defendant perceptions are variable and complex but important in explaining variations in outcomes.