SEX DIFFERENCES IN JEALOUSY IN EVOLUTIONARY AND CULTURAL PERSPECTIVE:

Abstract— As predicted by models derived from evolutionary psychology, men within the United States have been shown to exhibit greater psychological and physiological distress to sexual than to emotional infidelity of their partner, and women have been shown to exhibit more distress to emotional than to sexual infidelity. Because cross-cultural tests are critical for evolutionary hypotheses, we examined these sex differences in three parallel studies conducted in the Netherlands ( N = 207), Germany ( N = 200), and the United Slates ( N = 224) Two key findings emerged First, the sex differences in sexual jealousy are robust across these cultures, providing support for the evolutionary psychological model Second, the magnitude of the sex differences varies somewhat across cultures—large for the United States, medium for Germany and the Netherlands Discussion focuses on the evolutionary psychology of jealousy and on the sensitivity of sex differences m the sexual sphere to cultural input.     

CULTURAL DIFFERENCES IN REACTION TO FAILURE1

Les Occidentaux admettent qu'on critique leur performance; ils réagissent en général à la critique en essayant de faire mieux. En Extrême-Orient, il n'est pas convenable de dire à quelqu'un qu'il a échoué en quelque chose; le faisant, on a toute chance de le voir renoncer ou faire plus mal encore. Cette différence de comportement dans les deux civilisations s'explique par des différences d'organisation cognitive. Les AA. ont comparé, dans trois groupes d'étudiants de culture différente (Américains; Extrême-orientaux suivant les cours d'universités américaines; Thais de Thaïlande), les individus qui ont réussi et ceux qui ont échoué dans leurs études. Les sujets américains réagissent à l'échec en réduisant les relations entre toutes les variables étudiées, ce qui constitue un mode de défense en profondeur par le biais d'une organisation plus souple. Les sujets des deux autres groupes réagissent à l'échec par une réduction des contacts personnels et une rigidité accrue de l'organisation personnelle interne. Ces résultats ont une grande importance pratique relativement aux effets sociaux du développement économique en Extrême-Orient.     

SOME MOTIVATIONAL DETERMINANTS OF RACIAL DIFFERENCES IN INTELLECTUAL ACHIEVEMENT1

Motivations et différences raciales dans la réussite intellectuelle. — Dans les récentes années, un certain nombre de théories de la motivation ont été proposées, qui ne sont pas sans rapport avec le problème des différences raciales dans la réussite intellectuelle aux USA. Le modèle théorique du “désir de réussite” d'Atkinson suggère que pour des noirs qui se trouvent dans des situations scolaires à prédominance blanche, la valeur du succès est forte et faible L'espoir du succès, parce que les normes blanches de réussite sont plus élevées que celles des noirs. La distinction que fait Crandall entre L'origine interne et L'origine externe de la valeur et les normes de réussite, ainsi que les travaux de Crandall et al., sur le rôle de L'approbation de la mère dans L'émergence précoce des conduites de réussite, ont des implications pour L'étude des différences selon la classe sociale et la race dans le développement des motivations intellectuelles. La faible performance des élèves noirs paraît liée à L'inadéquation des renforcements à la maison et à L'école. La privation précoce d'approbation semble entraîner la formation de schèmes, se perpétuant d'eux-mêmes, de surdépendance à L'égard du milieu social en ce qui concerne les récompenses liées à la réussite et L'établissement des normes de réussite. Un autre chercheur, Rotter, a étudié les différences apparaissant entre les groupes et entre les individus, dans la tendance à percevoir les récompenses comme contrôlées de façon interne ou externe. Les noirs, enfants et adultes, ont un sens moindre du contrôle interne. Les conceptions précédemment évoquées peuvent être unifiées et utilisées pour rendre compte de façon substantielle des données dont on dispose sur la réussite des élèves noirs dans des écoles qui pratiquent la ségrégation ou L'intégration raciale.     

APPLICANT WITHDRAWAL: THE ROLE OF TEST-TAKING ATTITUDES AND RACIAL DIFFERENCES

The role of test-taking attitudes in the decisions of applicants to withdraw from a selection process was examined. Measures of test-taking attitudes were administered to 3,290 police officer applicants. Interviews were conducted with 618 applicants who withdrew from the selection process. Comparative anxiety, motivation, and literacy scales were found to predict withdrawal, but the effects were quite small. African-Americans were more likely to withdraw. Small race differences were found on test attitude scales. The requirement of taking a test was not a major factor in applicant withdrawal; procedural fairness and several other factors appeared to play a greater role. A model of applicant withdrawal is proposed based on the qualitative data from applicants who withdrew.     

优秀幼儿教师与幼专学生性格特征的比较研究

采用Ｙ—Ｇ性格测验问卷,对优秀幼儿园教师和幼师高专学生共１５６人,进行了心理测评,展开了优秀幼儿园教师与幼师高专学生性格特征的比较研究。结果表明：幼儿教师的性格类型与其职业成就相关;Ｙ—Ｇ性格测验的Ｄ型性格类型为幼儿教师的理想性格类型;幼师高专学生与优秀幼儿园教师的性格特征间存在显著差异。整个测评研究结果,为幼师高专学校招生选拨及培养学生的工作提供心理学依据。     

CULTURAL DIFFERENCES IN ATTENTIONAL PREFERENCE FOR COLOUR OVER FORM1

Huit groupes de sujets, différant par l'instruction et la culture, ont été soumis à un test d'appariement par la couleur ou la forme, (i) Plus le niveau d'instruction s'élève et plus se manifeste une préférence pour la forme, chez les enfants anglais citadins, les Indiens citadins et les Zambiens ruraux, mais non chez les enfants zambiens habitant la brousse lointaine ou la ville. (2) La préférence pour la forme a un rapport moins direct avec l'âge qu'avec l'instruction chez les enfants zambiens ruraux. (3) Les enfants zambiens ruraux et citadins préfèrent plus fréquemment la couleur que les enfants anglais et indiens citadins et moins fréquemment que les enfants zambiens de brousse lointaine de même niveau scolaire. (4) Les étudiants zambiens préfèrent plus fréquemment la forme que les Zambiennes adultes illettrées. (5) Aucune différence entre races n'apparaît chez les sujets d'un jardin d'enfants privilégié.     

CULTURAL DIFFERENCES IN MEASURING EDUCATIONAL ACHIEVEMENT: A CHALLENGE TO PSYCHOLOGY

Les différences culturelles dans la mesure de la réussite scolaire: un problème pour les psychologies. — La “culture éducative”, C'est-à-dire le système standard de formation et d'évaluation, peut varier considérablement d'un pays à L'autre. La recherche interculturelle devrait utiliser les découvertes faites par la psychologie expérimentale en matière de processus d'apprentissage pour résoudre les problèmes de L'évaluation des niveaux d'instruction. Les comparaisons interculturelles portant sur L'intelligence et la réussite scolaire doivent prendre en considération les différences qui se manifestent dans L'acquisition des capacités particulières impliquées dans les tests. C'est ainsi, par exemple, qu'une comparaison expérimentale d'étudiants américains et israéliens portant sur la rétention d'un matériel symbolique et d'un matériel significatif, et utilisant un test subjectif de reconstruction (écrire un essai) et un test objectif de reconnaissance à choix multiple, a fait apparaître une performance supérieure des étudiants israéliens dans les deux types de tâches. Puisqu'il n'y a aucune raison de supposer que les étudiants américains testés sont globalement moins intelligents que les étudiants israèliens, les AA pensent que les écarts observés sont relatifs aux différences dans les pratiques éducatives et les manières de tester des deux pays: les Américains tendent à mettre L'accent sur les tests objectifs (reconnaissance) tandis que les israéliens utilisent davantage les tests de type subjectif (écrire un essai, reconstruction). Apparemment, les étudiants qui réussissent les tâches de reconstruction peuvent réussir aussi bien les tâches impliquant une reconnaissance, mais L'inverse n'est pas forcément vrai. Puisque la mémoire joue un rôle important dans la performance aux tests de réussite scolaire et dans la plupart des tests d'intelligence, on ne doit pas négliger les différences interculturelles qui apparaissent dans la rétention et dans la mesure de la rétention.     

RACIAL AND GENDER BIASES IN MAGAZINE ADVERTISING

Recent evidence suggests that racial and gender biases in magazine advertisements may be increasing. To explore this possibility, a content analysis was performed on 10 years of fashion advertisements drawn from magazines geared toward White women, Black women, or White men ( N = 1,800 advertisements from 1985–1994). The results indicated that (a) except for Black females in White women's magazines, African Americans were underrepresented in White magazines; (b) female body exposure was greater than male body exposure, and White female body exposure rose significantly during the 10 years; (c) White women were shown in low-status positions nearly twice as often as were other models; and (d) Black women wore the majority of animal prints, most of which were patterned after a predatory animal. These findings suggest that racial and gender biases in magazine advertising persisted, and in some cases increased, between the mid-1980s and mid-1990s.     

HEMISPHERE FUNCTION AND SPATIAL ABILITY: AN EXPLORATORY STUDY OF SEX AND CULTURAL DIFFERENCES

Three experiments investigated performance as a function of the visual hemifield to which verbal and spatial stimuli were presented tachistoscopically. The aim was to relate laterality effects to individual, sex and cultural differences in spatial ability within the framework of a model of hemispheric specialisation. A left-hemisphere advantage for verbal materials was obtained but no advantage for right-hemisphere presentation of visuospatial information occurred in the following samples: British and Ghanaian (experiment 1), high and low spatial ability groups (experiment 2) and males and females (experiment 3). Traditional spatial ability tests had no predictive value for performance on the tachistocopic tasks and an interaction between presentation field and responding hand was interpreted as implying equivalent processing of spatial information in either hemisphere.     

ETHNIC AND RACIAL SIMILARITY IN DEVELOPMENTAL PROCESS:

Abstract— Correlation matrices were computed on academic achievement and family environment measures using longitudinal data on siblings The 8 × 8 correlation matrices were computed on Hispanics, blacks, and whites separately When compared employing a LISREL method, the matrices were equal across these ethnic-racial groups Hence, developmental processes influencing academic achievement may be similar in Hispanics, blacks, and whites A structural equation model with four free parameters was fitted successfully to a correlation matrix pooled across groups As a single structural equation model fitted all groups, the existence of minority-specific developmental processes was not supported     

SEX-RELATED DIFFERENCES IN HEALTH AND ILLNESS

Mortality and morbidity statistics which reflect the major health disorders in the nation have changed dramatically in this century. Infectious diseases have been largely controlled, and this country's citizens are now burdened with the chronic and disabling disorders of an aging population that are increasingly linked to environmental and behavioral factors. This article documents gender and sex differences among the major life-threatening disorders and chronic health problems and suggests implications for psychology as a health science and profession.     

GROUP DIFFERENCES IN PERSONALITY: META‐ANALYSES COMPARING FIVE U.S. RACIAL GROUPS

This research poses 2 applied questions: How large are racial group differences on personality scales and are these differences likely to cause adverse impact in personnel selection? We examined the extent to which racial groups differ across Big 5 personality factors and facets. Large‐scale, quantitative estimates based on over 700 effect sizes were meta‐analytically summarized. Multiple personality instruments and understudied racial groups, particularly Asian Americans and American Indians, were included in the meta‐analyses. Most group comparisons and personality scales yielded negligible differences and are not likely to cause adverse impact in selection. However, facet‐level analyses produced different d‐values, with some group comparisons showing moderate differences, suggesting that the use of personality measures in selection does not uniformly circumvent adverse impact concerns. The veracity of this conclusion depends on (a) the particular trait in question, (b) the composition of the applicant pool (i.e., which groups are to be compared with one another), (c) the effect size (i.e., d‐value), and (d) the selection ratio. For practitioners, we present a quantitatively informed summary of when and where to expect adverse impact to result from personality measures used in personnel selection.     

SEX DIFFERENCES AND DEPRESSION IN PUERTO RICO

Sex differences in rates of depressive disorders and depressive symptomatology, as measured by the Diagnostic Interview Schedule, are examined for an island-wide probability sample of Puerto Rico. Consistent with previous research, depression is significantly more prevalent in Puerto Rican women than men. Risk factors associated with depressive symptomatology are examined from a sex-role perspective. The results of multiple regression analyses show that even after demographic, health and marital and employment status variables are controlled, women continue to be at higher risk of depressive symptomatology than men. These results are interpreted within a cultural and sex-role perspective.